Il était tard, le feu réchauffait la petite salle de la taverne, il n'y avait que des habitués très peu d'étrangers venaient dans ce coin reculé des Landes Gelée.
Pourtant, ce soir un homme entra dans l'auberge. Il paraissait vieux, très vieux... trop vieux. Cet homme était à la limite du squelette vivant, on aurait dis qu'un simple coup de vent aurait pu l'envoyer voler à travers tout le pays, mais ce n'était que l'apparence car on pouvait discerner à sa demarche que cet homme avait été un guerrier et qu'il était encore capable de se battre.
Un homme entra disais-je. Il s'assit à une table libre juste à coté de moi. L'aubergiste s'approcha et pris sa commande, l'homme lui repondit qu'il n'avait pas d'argent mais qu'il pouvait lui raconter un histoire en échange, mais l'aubergiste s'emporta :
-Où te crois-tu étrangé? Ici, seul l'argent comptant compte. Et toi tu veux me raconter une fable à deux sous contre un repas, tu te moques de moi.
Aller! Sort de mon etablissement! Si tu n'a pas d'argent, tu n'as rien à faire ici.
Cet homme m'intriguait et moi, son histoire m'interresait. Je m'approchais de l'homme et dis au tavernier :
-Et Sam ammene lui de quoi manger c'est moi qui paye. Dis-je.
-Tu es sur Thomas ? Me repondit il.
-Ouai aller ammene de quoi manger et une biere pour moi.
-Merci. Me dis l'étranger.
C'est alors que je pus voir le nombre de cicatrices qui ravageaient son visage.
Je lui demandais alors :
-Moi votre histoire m'interresse et comme je vous ai payer le repas, vous pouvez me la raconter.
-Vous êtes sur que vous voulez l'entendre? Elle pourait vous decevoir, vous savez ce n'est pas l'histoire d'un heros.
-Si j'insiste raconter la moi.
L'aubergistes ramena une assiete de viandes pour l'étranger et une biere bien mousseuse comme je les aime.
L'inconnue mangea quelques bouchées, puis commenca à dire des mots que je ne comprenais pas.
-Qu'as-tu dis ?? lui demandai je.
-J'ai a peine commecer mon histoire que tu m'interrompt deja.
-désoler recommancer.
-Je disais donc :
"Cette histoire n'est pas celle d'un heros. Bien que certain le considairaient comme tel. D'autres le voyaient comme un démon, d'autres un mythes que l'on se racontait à la veiller au coin du feu et d'autres encore pensaient que c'était un dieu venu sur terre pour les liberer du mal à tout jamais.
Cette histoire c'est celle d'une legende, un homme ni bon ni mauvais cet homme se nommait Darzolne ..."
-Quoi LE Darzolne? m'entendis-je crier. Vous voulez dire celui qui...
-Je t'ai dis de ne pas m'interrompre si tu veux connaitres la suite. Surtout que je pense que ta version des faits le concernant doit être plus que fausse. Surtout si tu ecoutes ces stupides bardes qui se croient toujours obligés de transformer les hommes en heros. Bon ou en étais je, ah oui :
"Darzolne un homme qui n'était pas paysans. Son villages n'a pas été ravager et il na pas du se débrouiller tout seul dès son plus jeune age comme le raconte toutes les histoires de heros. Non, cet homme était le fils de nobles.
Il avait tout pour reussir. Son père avait voulu à l'âge de six ans que le garcon soit formé à tous les arts de combats existants mais aussi qu'il apprenne à lire et à ecrire. Puis par la suite, son père l'envoya en compagnie d'un riche marchand pour qu'il apprenne les rouages du commerces mais aussi celles de la fellonie et de la coruption qui font de quelqu'un un homme riche et puissant.
Pour les seize ans du garcon, le père l'emmenna voir un archimages pour qu'il lui apprenne la magie aussi bien blanche que noire.
Mais le jeune homme avait decidé qu'il était grand temps qu'il fasse autres choses de sa vie que la vie qu'avait voulu son père. Et sans autres formes de procès, lui transperça le coeur avec les deux épées que lui avait offert son père et qui ne le quittaient plus depuis ce jour là. S'apercevant de ce qu'il venait de faire, Darzolne se dit que s'il devait être libre, il ne devait plus avoir aucune attache avec le passé.
C'est pourquoi dans la même nuit, il s'introduisit dans la chambres de sa mère et la tua de la même facon que son mari. Il répeta le meme processus avec ses deux soeurs ; qui avait été durant son long apprentissages sa seule porte de sortie.
Ses soeur était sont paradis vers lequelle il allait se refugier parfois en jouant avec elle ou en leur racontant des histoires ; il décapita pourtant ces deux soeurs puis mis feu à leur demeure ne laissant ainsi aucun lien avec le passer.
C'est ainsi qu'il prit la route accompagné de ses épees et de ses convictions.
A se moment là, il ne pouvait deviner quelle destiné l'attendait.
Ven 17 Aoû - 18:13